C'est le syndrome de la concierge, ou de celui qui sait pas conduire.
Demain, leur rêve, c'est la bagnole qui roule seule, on s'arrangera avec les morts. Ce qu'il faut c'est vendre (des SUV avec les poignées



Euh, pardon, "Dany7" aurait-il mal lu ?Dany7 a écrit:Merci à Afox …
Il est clair que l'homme n'avait pas été étroitement associé, contrairement à ce que préconise Afox.
AFox a écrit: Solution: Revenir aux basiques dans le développement de ces systèmes automatisés en y associant étroitement l'homme pour mesurer ses réactions lors de chaque situation anormale.
AFox a écrit:- une erreur dans le choix des paramètres de vol sélectionnés par le pilote. L'ordinateur exécute les ordres sans "discuter" ! (ex: tirer à fond sur le manche - AF447),
Solution: Revenir aux basiques dans le développement de ces systèmes automatisés en y associant étroitement l'homme pour mesurer ses réactions lors de chaque situation anormale.
TiCAS a écrit:AFox a écrit:- une erreur dans le choix des paramètres de vol sélectionnés par le pilote. L'ordinateur exécute les ordres sans "discuter" ! (ex: tirer à fond sur le manche - AF447),
Solution: Revenir aux basiques dans le développement de ces systèmes automatisés en y associant étroitement l'homme pour mesurer ses réactions lors de chaque situation anormale.
Il y a quelque chose de paradoxal dans ce raisonnement, non ?
AFox a écrit: Et plus ces systèmes seront simples à comprendre par le pilote, plus les chances de réaction ad hoc de ce dernier seront adaptées. Ou encore, dit différemment, moins le risque de déco…. du pilote aux commandes sera grand. A titre d'exemple, parmi d'autres, le maintien de la réaction de l'effort au manche pour les Boeing est un facteur sécurisant dont le pilote de l'AF447 ne bénéficiait pas...
AFox a écrit: De même le mouvement visuel coordonné du manche du copi avec celui du PF serait aussi un facteur permettant au copi de comprendre ce que fait l'autre en situation de stress intense…
limacharlie a écrit:Le problème, c'est que jusqu'à ce jour, l'ordinateur n'improvise pas, ce que l'humain arrive à faire, parfois pas avec bonheur.
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TiCAS a écrit:AFox a écrit: A titre d'exemple, parmi d'autres, le maintien de la réaction de l'effort au manche pour les Boeing est un facteur sécurisant dont le pilote de l'AF447 ne bénéficiait pas...
Est-ce là vraiment le bon exemple?
TiCAS a écrit:AFox a écrit: De même le mouvement visuel coordonné du manche du copi avec celui du PF serait aussi un facteur permettant au copi de comprendre ce que fait l'autre en situation de stress intense…
- Manches asservis, conjugués, pour sentir et comprendre les mouvements ( et la position) du manche de l'autre...
AFox a écrit: Non effectivement, le maintien de l'effort proportionnel à la vitesse ...Il faudrait "durcir" à vitesse élevée … est effectivement la meilleure solution car "basique", et non pas la boite à ressorts.
TiCAS a écrit:AFox a écrit: Non effectivement, le maintien de l'effort proportionnel à la vitesse ...Il faudrait "durcir" à vitesse élevée … est effectivement la meilleure solution car "basique", et non pas la boite à ressorts.
Mais ça voudrait dire que les commandes deviendraient "molles" , comme sur les avions "ancienne génération" ou avions légers, "basiques", lorsque la vitesse diminuerait non?
TiCAS a écrit:Ce qui nécessiterait des actions avec plus d'amplitude sur les commandes mais avec le même effort, voire moins,
TiCAS a écrit:La "boite à ressorts" rend les commandes plus dures lors d'actions d'amplitude importante, en fonction des besoins du pilote, indépendamment de la vitesse...
AFox a écrit: Donc solution : activer la boite à ressorts en cas de panne de badin…
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