Il aurait peut être pu se poser à Guernesey sans casse, la météo n'était pas ou plus VFR, pourquoi a t'il continué ?
L’appât du gain, j'y crois pas trop, mais l'égo (ne pas renoncer) est possible voire probable.
limacharlie a écrit:L’appât du gain, j'y crois pas trop, mais l'égo (ne pas renoncer) est possible voire probable.
limacharlie a écrit:J'ai fait ca dans le temps (voler gratos avec un VIP, en fait du "taxi"), c'était sinon "légal", du moins "toléré".
limacharlie a écrit:l'entrainement au vol aux instruments était plus qu'embryonnaire.
Pour y avoir gouté, je me demande ce qu'est le VFR de nuit
navstarix a écrit: si on se retrouve dans la couche, on effectue un demi-tour stable en altitude, faible inclinaison si nécessaire, sans panique
Un nouveau dysfonctionnement dans l’affaire de la disparition d’Emiliano Sala.
Le pilote de l’avion qui transportait le footballeur argentin et qui s’est abîmé dans la Manche le 21 janvier, provoquant la mort des deux hommes, n’était pas habilité à voler la nuit, a rapporté la BBC samedi.
Selon le média britannique, le pilote, David Ibbotson, était daltonien, ce qui l’empêchait de voler la nuit, et sa licence de pilote ne disposait pas de la « qualification au vol de nuit ».
L’Autorité britannique de l’aviation civile (CAA) n’a pas confirmé cette information, indiquant seulement que « l’enquête de l’AAIB est en cours ».
De son côté, le bureau d’enquête britannique sur les accidents aériens (AAIB) a précisé que son enquête « continue de se concentrer sur les licences ».
Le pilote n’avait pas non plus le droit d’effectuer des vols commerciaux
Le mois dernier, l’AAIB avait établi que l’avion qui transportait Emiliano Sala n’était pas autorisé à effectuer des vols commerciaux.
Les enquêteurs avaient précisé que David Ibbotson avait déjà transporté d’autres passagers sur la base d’un « partage des coûts », autorisée par la réglementation.
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